Dans la revue Corridor Elephant n°3

Heureux propriétaire d’un îlot de cuisine orné de plantes aromatiques dans des cubes en céramique, Simon Tarsier dénonce, dans « Sur commande ou à s’emporter », l’extension du domaine de la borne à pizza. Il finit malheureusement par écrire contre lui-même dans cette relecture politique en forme de condamnation outrancière, en vrac, du bokeh, du développement personnel et de l’aménagement d’intérieur feng shui.

  • Tarsier, Simon. « Sur commande ou à s’emporter ». Revue Corridor Elephant, n°3, juin 2024, pp. 26-31.

À retrouver sur le site de la revue Corridor Elephant.

« Il s’agit dans ce texte de réinterroger la possibilité d’un clivage dans un monde où la langue de coton ([Steiner, 2002]) prévaut et empêche de penser le dissensus, les oppressions qu’elle tait sans en faire disparaître la violence vécue, ressentie. Il s’agit également d’explorer en quoi cette langue tout en rondeur et contournements pourrait être étendue au langage visuel, aux images et notamment via la consommation de photographies. Le texte proposé tente de faire ré-apparaître la forme de la colère souvent délégitimée dans les interactions humaines alors qu’elle peut être aussi salvatrice. Enfin le texte pose la question du burn-out comme symptôme d’un rapport au travail dégradé, avec sa conséquence logique : la tentation de la démission. » (Note d’intention)

Dans la revue Corridor Elephant n°3

publié le 4 juin 2024

Heureux propriétaire d’un îlot de cuisine orné de plantes aromatiques dans des cubes en céramique, Simon Tarsier dénonce, dans « Sur commande ou à s’emporter », l’extension du domaine de la borne à pizza. Il finit malheureusement par écrire contre lui-même dans cette relecture politique en forme de condamnation outrancière, en vrac, du bokeh, du développement personnel et de l’aménagement d’intérieur feng shui.

  • Tarsier, Simon. « Sur commande ou à s’emporter ». Revue Corridor Elephant, n°3, juin 2024, pp. 26-31.

À retrouver sur le site de la revue Corridor Elephant.

« Il s’agit dans ce texte de réinterroger la possibilité d’un clivage dans un monde où la langue de coton ([Steiner, 2002]) prévaut et empêche de penser le dissensus, les oppressions qu’elle tait sans en faire disparaître la violence vécue, ressentie. Il s’agit également d’explorer en quoi cette langue tout en rondeur et contournements pourrait être étendue au langage visuel, aux images et notamment via la consommation de photographies. Le texte proposé tente de faire ré-apparaître la forme de la colère souvent délégitimée dans les interactions humaines alors qu’elle peut être aussi salvatrice. Enfin le texte pose la question du burn-out comme symptôme d’un rapport au travail dégradé, avec sa conséquence logique : la tentation de la démission. » (Note d’intention)

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